lundi 31 janvier 2011

Deux jours de folie à Penang

Happy Thaipusam !
Après plus de trois semaines de détente dans le sud de la Thaïlande et sept jours pépères sur les îles Langkawi, dans le nord de la Malaisie, on avait pris un peu de retard sur notre "programme". A notre arrivée à George Town, la capitale de l'île de Penang, notre but était donc de forcer un peu le pas : deux jours et on repart plus au sud ! C'était compter sans Thaipusam...

Thaipu-quoi ? Thaipusam, une fête religieuse et populaire hindoue dont on ignorait jusqu'à l'existence avant notre incursion dans Little India. En entrant dans le quartier indien de George Town, on voulait simplement s'imprégner furtivement de l'esprit de l'Inde, à défaut d'avoir pu s'y baigner en novembre dernier. Mais après avoir entendu parler de Thaipusam, on a immédiatement décidé de prolonger notre séjour à Penang. Et on ne regrette pas : cette fête est tout simplement INCROYABLE !

mercredi 19 janvier 2011

Noël et Nouvel An sous les tropiques

Il y a pire endroit pour
passer Noël, non ?
Passer les fêtes de fin d'année loin de notre cher Vieux Continent est loin d'être une habitude pour nous. En réalité, il s'agissait d'une première pour Did et de la seconde fois seulement pour Sid. Alors, Noël et Nouvel An en touristes sous les tropiques, ça donne quoi ?

Pour Noël, c'est absolument différent de la Suisse. Et on ne parle pas que de la température ! Chez nous, Noël est la fête de famille par excellence : on célèbre la naissance du petit Jésus autour d'un bon gros repas hypercalorique, puis on discute au coin du feu, dans la chaleur et l'intimité du cocon familial. Dehors, tout est fermé, le monde s'arrête durant deux jours.

jeudi 6 janvier 2011

Magnifique Luang Prabang !

Le soleil se couche sur le Mékong.
Ah ! Luang Prabang ! Après deux jours de croisière quelque peu mouvementée sur le Mékong (cf. WTF), on débarque enfin dans l'ancienne capitale royale du Laos. Did y avait passé quelques jours il y a trois ans, un séjour mémorable. Mais retourner dans un endroit qu'on adore est toujours périlleux : il suffit que l'atmosphère ait changé - ou qu'on ait soi-même changé -, que le temps soit maussade, que l'influence du tourisme ait laissé une trace néfaste, et le paradis peut soudain redevenir un lieu absolument banal.